mardi 19 février 2013

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J'aimerai avoir une souvenirothèque... et comme son nom l'indique ce serait genre une boite à souvenirs. C'est vrai que les livres d'or ou les albums photos jouent un peu ce rôle mais la mienne serait plus complète. On pourrait faire des retours dans le temps, des zooms, des arrêts sur image, rechercher des noms, des lieux, des expériences... Il y aurait bien sûr aussi quelques retouches pour effacer les moments moins drôles. Ce serait facilement accessible & immédiat, pour un usage limité certes car il ne faut pas vivre dans le passé... On peut aussi la partager avec ou sans étiquettes virtuelles. Cela permettrait de sourire de temps en temps en la parcourant et de se réjouir lorsqu'on pense avoir trouvé un souvenir digne d'enrichir la collection ;)

        Bonne nuit les amis :x Et aux orties les ordis et excel ===

dimanche 17 février 2013

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:) petite chanson sur les femmes modernes (suite des femmes des années 80) vues par notre société aujourd'hui. Trouvée par hasard mais je trouve qu'il y a quelques remarques perspicaces...

Parole de Etre Une Femme 2010 (Michel Sardou):
Dans un voyage en absurdie
Que je fais lorsque je m’ennuie,
J’ai imaginé sans complexe
Qu’un matin je changeais de sexe,
Que je vivais l’étrange drame
D’être une femme, (femme être une femme)
D’être une femme (Femme être une femme)

Depuis les années 80,
Les femmes sont des hommes à temps plein
Finis les revendications
C’qu’elles ont voulu maintenant elles l’ont
Ce sont toutes des femmes accomplies
Sans vraiment besoin d’un mari
Femme capitaine de société
Elles ont d’autres chats à fouetter
De conseils d’administration
De longs diners en réunion
Passer en coup de vent chez le coiffeur
Se maquiller dans l’ascenceur
Elles rentrent épuisées tous les soirs
La télé elles veulent plus la voir
A peine la couv’ d’un magazine
Et un cachet qui les assassine

Femme être une femme
Femme être une femme

Quand à l’amour elles n’y pensent plus
Juste un amant qu’elle n'revoit plus
D’ailleurs c’est un acte manqué
Quand leur portable se met à vibrer
Pour la nostalgie d’autrefois
Faudrait du temps elles n’en ont pas
Elles y reviendront évidemment
Avec le premier cheveu blanc
Trente années se sont écoulées
Ont-elles perdu ce qu’elles ont gagné
Elles étaient femmes en 80
Et femmes jusqu’au bout des seins
Question salaire ça ne va pas mieux
Celui d’un homme coupé en deux
On les enfume de parité
Mais qui promet l’égalité?

 

(...)

mardi 12 février 2013

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J'aimerai avoir le temps de lire tous mes nouveaux bouquins... et dire que je n'avais même pas achevé tous ceux de l'année dernière!


samedi 2 février 2013

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Le jour où il fût décidé que j'irai en Italie, je décidais aussi qu'il y a 2 choses qu'il fallait que j'apprenne avant de quitter ce pays quelques mois plus tard (4 ans plus tard j'y suis toujours mais c'est une autre histoire...), donc la première et plus importante résolution était boire du café! Je ne buvais pas de café à l'époque, je détestais ce goût amer que j'avais pu goûter à la petite cuillère du bol de petit déjeuner de mes parents. 

Les plus grandes découvertes sont souvent inattendues et le résultat de concours de circonstances! A Perugia, le samedi matin, les étudiants du GBU organisaient une réunion de prière/petit déjeuner dans un dortoir. Ils avaient une "moka" qu'ils mettaient chauffer sur une plaque électrique de camping et préparaient le café au lait pour tous. Je me retrouvais donc à argumenter que non, je n'en voulais pas, que je ne buvais pas de café... Malheureusement c'était la seule option et j'ai donc obtempéré (on était en Italie après tout, et il fallait bien commencer quelque part). J'ai alors découvert que le café n'avait pas toujours ce goût amer affreux mais plutôt de noisette et j'ai aimé!!!!! Depuis j'ai pris mon café dans des dizaines de bar dans tout le pays et c'est le petit plaisir qui me manquera le plus lorsque je quitterai ce pays. D'ailleurs je ne me hasarde toujours pas à essayer le café à l'étranger. Enfin, si je l'ai déjà fait mais je n'ai pas eu de très bonnes expériences, donc en général, je trouve le thé moins risqué...

Ouvrir un café, un vrai, une petite entreprise qui fait de bons espressos, un lieu de vie... après-tout mon arrière-grand-mère tenait bien le café du village :) Reste à trouver le bon concept, le bon emplacement parce qu'un café sans passage n'a pas beaucoup d'intérêt... dans une culture qui apprécie le café italien, avec des partenaires & le staff qui rock! Parce que même les Nespresso n'arrivent pas à la hauteur du café de bar et que nous serons toujours prêts à payer 1euro que ce soit pour le plaisir gustatif ou pour le shot de cafféine!


ps: article sympa " Dix petits noirs" sur le même sujet dans le dernier numéro d'Elle à Table de Jan-Fev 2013
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En cette période de la vie où l'on a un peu grandi mais tout n'est pas encore décidé... Où l'on encore de grands projets et une bonne dose d'espoir... Où l'on doit prendre des décisions et cela nous semble la fin du monde... Un soir, j'avais écrit sur mon profil de réseau social, "J'aimerai..." Il y a tant de choses que j'aimerai faire, j'aimerai être, j'aimerai quitter, j'aimerai apprendre, j'aimerai changer... Avouables ou non avouables :)

vendredi 1 février 2013

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Je viens de découvrir la jeune vie algéroise, et ça ressemble à un peu de déjà vécu... la famille ou l'ennui? dans "la vie algéroise" ou croire être chez soi là où on ne sera jamais chez soi dans "bons baisers d'Afrique" ou encore sur la hantise des réceptions dans "socialize" ahahahah :) et bien d'autres encore mais sans fumée, sans alcool & sans relations sans lendemains :p